La médecine douce (dont la réflexologie fait partie) s’appuie sur les ressources intérieures du corps (nos facultés d’auto-guérison). Elle va accompagner ou venir compléter une prise en charge médicale en cherchant une cause plus large que la cause organique. Autrement dit, en prenant en compte nos autres corps. Un organe malade peut témoigner en plus d’un déséquilibre corporel physique, d’un déséquilibre émotionnel, mental et ou énergétique en lien avec nos corps subtils. Grâce aux avancées de la physique quantique, on peut désormais confirmer l’existence de ces corps, non visibles à l’oeil nu.
Les corps subtils interagissent avec nos pensées et nos émotions. Le déséquilibre de ceux-ci participe à terme au développement des maladies : un déséquilibre touche d’abord les corps subtils, car il se trouve en amont du corps physique. Avec le temps, il peut atteindre les couches plus profondes. Par exemple, au niveau corporel, on remarque déjà que les déséquilibres vont de l’extérieur vers la « profondeur ».

Un état grippal ou une grippe commence avec le nez qui coule, puis peut atteindre les bronches. Si la personne présente seulement un rhume cela signifie qu’elle a su surmonter le déséquilibre rapidement. Au contraire, si une bronchite s’installe affligeant un organe plus profond, comme les poumons, le rétablissement sera plus long. Ce principe s’applique aussi sur nos corps subtils. En prenant soin d’eux, en étant à l’écoute de nos pensées et émotions, on participe à la santé de notre corps physique.